Géobiologie et courants parasites

Les vaches, animaux sensibles à leur environnement

Lors de la première journée, animée par Luc Leroy (Géobiologue), les éleveurs ont découvert les principes de la géobiologie.

En effet, les exploitations reçoivent différentes énergies provenant du sol ou de l’atmosphère qui peuvent avoir un effet sur les animaux. Les éleveurs ont appris à localiser les zones de perturbation par l’utilisation de différents outils.

Face à la perplexité de certains, Luc Leroy les a rassurés : « La géobiologie ce n’est pas un don surnaturel. C’est comme le vélo : tout le monde peut en faire, il suffit d’apprendre ».

Les courants parasites, perturbateurs à l'élevage

C’est lors de la deuxième journée, animée par Katy Bouvier (ARAD²), que les courants parasites ont été abordés.

Les vaches laitières figurent parmi les animaux ayant la résistance électrique la plus faible. Ainsi, comme l’a expliqué Katy, en présence de courants parasites, la vache va servir de conducteur électrique. Cependant, les vaches laitières soumises à ces courants ne vont pas toutes réagir de la même façon.

Parmi les signes, on peut observer une perturbation de la reproduction, une baisse d’immunité, ou encore des zones moins fréquentées dans un bâtiment.

Néanmoins, la géobiologie n’est pas seule responsable. Lors de l’observation de ces signes, il faut d’abord traiter le sujet d’un point de vue zootechnique, avant d’analyser la géobiologie et les courants parasites.

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